Deixis temporelle argumentative: remarques sur le français maintenant et les ...Louis de Saussure
L. de Saussure & Laura Baranzini. 2009. Deixis temporelle argumentative: remarques sur le français maintenant et les italiens ora et adesso. In : Christiane Maass / Angela Schrott (ed.): Wenn Deiktika nicht zeigen: Grammatikalisierung und Polyfunktionalität deiktischer Formen in den romanischen Sprachen, Münster, Hamburg: Lit-Verlag, 53-71.
“La réception du grotesque hugolien dans le théâtre espagnol du XIXe siècle”, Victor Hugo ou les frontières effacées, Dominique Peyrache-Leborgne y Yann Jumelais (eds.), Nantes, Éditions Pleins Feux, 2002, pp. 49-61. ISBN: 2-912-56733-5.
Deixis temporelle argumentative: remarques sur le français maintenant et les ...Louis de Saussure
L. de Saussure & Laura Baranzini. 2009. Deixis temporelle argumentative: remarques sur le français maintenant et les italiens ora et adesso. In : Christiane Maass / Angela Schrott (ed.): Wenn Deiktika nicht zeigen: Grammatikalisierung und Polyfunktionalität deiktischer Formen in den romanischen Sprachen, Münster, Hamburg: Lit-Verlag, 53-71.
“La réception du grotesque hugolien dans le théâtre espagnol du XIXe siècle”, Victor Hugo ou les frontières effacées, Dominique Peyrache-Leborgne y Yann Jumelais (eds.), Nantes, Éditions Pleins Feux, 2002, pp. 49-61. ISBN: 2-912-56733-5.
“Saint-Exupéry. Vers une poétique de l’homme par le langage”, Saint-Exupéry en nuestro tiempo. Balance de cincuenta años, Gabriel M. Jordà Lliteras (ed.), Palma de Mallorca, Estudi General Lul.lià, 1995, pp. 97-108. ISBN: 84-477-0516-1.
Molière et la "comedia" espagnole: le linceul de Pénélope. L’exemple de "Dom Juan", Le Théâtre espagnol du Siècle d’Or en France. De la traduction au transfert culturel, Christophe Couderc (ed.), París, Presses Universitaires de Paris Ouest, 2012, pp. 17-25. ISBN: 978-2-84016-102-8.
La critique des sources tient sous certains aspects du linceul de Pénélope: à peine un critique a-t-il pensé avoir trouvé des preuves irrécusables d’une filiation d’une œuvre qu’un autre pense pouvoir démontrer l’absence de bien-fondé des arguments apportés; au premier critique alors de trouver à redire sur les observations du deuxième et ainsi de suite. Ce va-et-vient de preuves et de contre-épreuves prend parfois des proportions excessives, notamment dans le cas d’œuvres provenant de domaines linguistiques divers, où les jugements de valeurs trahissent souvent un nationalisme qu’on croyait dépassé.
Cette dynamique “pénélopéenne” caractéristique de la critique des sources a connu un corrélat théorique dans l’histoire littéraire confrontée à la nouvelle critique. La considération des ressemblances et des différences prônée aux XIXe et XXe siècles par Saint-René Taillandier (1817-1879) et Gustave Lanson (1857-1934), avait amené aux études d’influences , suivies en partie à la fin du siècle dernier par les études de réception. Celles-ci relevaient de la littérature comparée; elles mettaient, comme l’expression l’indique, l’accent sur le récepteur, devenu le principal “faiseur” de l’œuvre . Les théories du texte se joignirent à la mêlée; introduisant le concept d’intertextualité, d’engendrement d’un texte à partir d’un ou de plusieurs autres textes antérieurs, elles s’employaient à désacraliser l’auteur . Le traitement réservé au Dom Juan de Molière est particulièrement révélateur de cette dynamique. Deux exemples suffiront à le montrer: le premier concerne les rapports entre cette pièce et le Quichotte, le deuxième ceux que la même pièce pourrait entretenir avec le baroque, notamment dans la perspective de la comedia.
Ce sont des diapos utilisés pour présenter l'origine de l'enseignement des langues dans la région de la Mesopotamie, chez les égiptiens, les grecs et les romans.
“Saint-Exupéry. Vers une poétique de l’homme par le langage”, Saint-Exupéry en nuestro tiempo. Balance de cincuenta años, Gabriel M. Jordà Lliteras (ed.), Palma de Mallorca, Estudi General Lul.lià, 1995, pp. 97-108. ISBN: 84-477-0516-1.
Molière et la "comedia" espagnole: le linceul de Pénélope. L’exemple de "Dom Juan", Le Théâtre espagnol du Siècle d’Or en France. De la traduction au transfert culturel, Christophe Couderc (ed.), París, Presses Universitaires de Paris Ouest, 2012, pp. 17-25. ISBN: 978-2-84016-102-8.
La critique des sources tient sous certains aspects du linceul de Pénélope: à peine un critique a-t-il pensé avoir trouvé des preuves irrécusables d’une filiation d’une œuvre qu’un autre pense pouvoir démontrer l’absence de bien-fondé des arguments apportés; au premier critique alors de trouver à redire sur les observations du deuxième et ainsi de suite. Ce va-et-vient de preuves et de contre-épreuves prend parfois des proportions excessives, notamment dans le cas d’œuvres provenant de domaines linguistiques divers, où les jugements de valeurs trahissent souvent un nationalisme qu’on croyait dépassé.
Cette dynamique “pénélopéenne” caractéristique de la critique des sources a connu un corrélat théorique dans l’histoire littéraire confrontée à la nouvelle critique. La considération des ressemblances et des différences prônée aux XIXe et XXe siècles par Saint-René Taillandier (1817-1879) et Gustave Lanson (1857-1934), avait amené aux études d’influences , suivies en partie à la fin du siècle dernier par les études de réception. Celles-ci relevaient de la littérature comparée; elles mettaient, comme l’expression l’indique, l’accent sur le récepteur, devenu le principal “faiseur” de l’œuvre . Les théories du texte se joignirent à la mêlée; introduisant le concept d’intertextualité, d’engendrement d’un texte à partir d’un ou de plusieurs autres textes antérieurs, elles s’employaient à désacraliser l’auteur . Le traitement réservé au Dom Juan de Molière est particulièrement révélateur de cette dynamique. Deux exemples suffiront à le montrer: le premier concerne les rapports entre cette pièce et le Quichotte, le deuxième ceux que la même pièce pourrait entretenir avec le baroque, notamment dans la perspective de la comedia.
Ce sont des diapos utilisés pour présenter l'origine de l'enseignement des langues dans la région de la Mesopotamie, chez les égiptiens, les grecs et les romans.
3. Qu’est-ce qu’un corpus? Un corpus comprend plusieurs textes, littéraire ou documentaires, parfois accompagnée d’un image. Ces documents ont tous des liens avec un ou deux objets d’études, clairement annoncés. Ils sont en commun soit des thèmes, soit des formes d’écritures, soit les deux. Ils peuvent se ressembler ou s’opposer, se compléter, s’éclairer les uns les autres.
4. Lire un corpus Lisez les page 252-253 la méthode d’analyse
11. Le travail aux niveaux HL2 : Commentez le texte de Victor Hugo HL3 : Dissertation – Trouvez-vous légitime de faire de la misère humaine un thème artistique? HL4 : Invention – vous rédigez un fragment de nouvelle évoquant une forme urbaine de la misère modern; vous adopterez les même procédés narratifs que Maupassant dans l’extrait du Gueux (document 3), et vous essaierez de produire les mêmes effets chez le lecteur.
13. Les modes de narration Le narrateur personnage Le héros Le témoin Le narrateur anonyme Point de vue omniscient Point de vue externe Point de vue interne
14. Employez le présent afin d’illustrer sa valeur Le présent d’énonciation Le présent de vérité Le présent d’habitude Le présent de narration Le futur proche Le passé récent
15. Application la Terminal Exercice 3: Enrichir l’expression Exercice 2: Caractériser les activités de l’auteur la 1re Exercices p. 147 Exercice 1: Utiliser le bon niveau de langue la 2me
Notes de l'éditeur
Questions p. 280la Terminal No2-4la 1reNo 1 et 3la 2meNo 1
Un corpus comprend plusieurs textes, littéraire ou documentaires, parfois accompagnée d’un image. Il peut aussi être constitué d’un seul texte de deux ou trois pages.Ces documents ont tous des liens avec un ou deux objets d’études, clairement annoncés.Ils sont en commun soit des thèmes, soit des formes d’écritures, soit les deux.Ils peuvent se ressembler ou s’opposer, se compléter, s’éclairer les uns les autres.
Feuille Méthodes et Techniques jaune p. 148-149 et 155